Une vie de loin… admirant l’élite.
Je n’en suis rien… Au bord du gouffre je pleure !
D’une solitude passée à deux,
je regarde au loin l’amusement de cette richesse qui donne des ailes.
Dépourvue depuis toujours… j’attends. J’envie leur simplicité de vie.
Bientôt je rentrerais ma douce France !
Relayant mes aventures d’un récit de conquêtes de l’auto-estime.
En attendant… J’attends encore.
D’une plage à l’autre,
de mêmes sentiments emplissent mon cœur.
Un jours de pause à t’attendre… en admirant ta joie de vivre inaccessible pour l’instant.
Pensées à Victor, Matanzas, Chile, 2017